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Presse

“Du blues en français et de belle facture, ils ne sont pas nombreux à réussir ce difficile défi. En support à des histoires de tous les jours bien ciselées, CadiJo crée son univers musical tout en s'imprégnant de belles références comme le légendaire Sonny Boy Williamson. Son show est ponctué d'influences diverses qui font la richesse de sa musique. ”

Festival Cognac Blues Passion – Michel Rolland

 

 

“CadiJo chante quelques standards en anglais mais surtout, il écrit en français des chansons inspirées du blues du Mississipi mais dont on saisit tout le sens. Et c'est un véritable duo que ce chanteur et son harmonica qui cause, pleure, se plaint et parfois même éclate de rire. Il chante « les bras croisés et les pieds dans l'eau », les matins de nostalgie, les exilés derrière les fenêtres, les petits soucis et les désirs d'amour... bref la vie de chaque jour car, pour lui, tout est prétexte à chanter. L'harmonica le suit ou le précède, joyeux, triste, volubile, s'envolant parfois, d'autres fois bredouillant mais toujours bouleversant. Une guitare l'accompagne et c'est du blues, du swing et même du gospel car, CadiJo le sait bien, la musique n'est jamais loin de l'âme et, on le devine, Cadijo cache la sienne dans son harmonica.”

Annie Quillon - Journal Sud Ouest

 

CadiJo entame la soirée avec son Blues à la Française, accompagné à la guitare par Baptiste Duperron. Cadijo nous offre des textes à la fois sincères, humoristiques et parfois légers, sur lesquels son jeu d'harmo fait des ravages. Inventif, rageur, subtil il nous délivre une véritable leçon de ruine-babines, tout comme B.Duperron à la guitare.

Stéphane Bizet

Blues Magazine - Festival Bain de Blues

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Il y a en lui quelque chose de Le Forestier et de Brassens mais également de Patrick Verbeke et de Benoît Blue Boy, un petit je ne sais quoi qui fait que ses chansons de frenchy pop peinturlurées en bleu et copieusement saupoudrées d’harmonicas viennent vous attraper au plus profond de l’inconscient pour ne plus ensuite vous quitter de la journée ! De souffles en sifflets, le bonhomme n’en finit plus de donner de la couleur à des morceaux pleins d’émotions, des chansons où il est question de passions et d’amours mais aussi d’argent et même de naufrages. Sachant, à l’occasion, sortir sans la moindre hésitation des carcans du blues pur et dur, Cadijo démontre ainsi qu’il y a moyen de toucher un public élargi et de lui donner matière à aimer cette musique qui lui colle si bien à la peau.

Fred Delforge - Zicazine

 

 

CadiJo at the Popul'Art Jazz Café, Madrid. I was immediately concerned - I really did not expect that a trombone in a guitar, harp, drums and bass band would work. I am pleased to admit that I was very wrong. Not only did Norman Hogue play the ‘bone extremely well, with excellent tone and phrasing - he also fitted into the band brilliantly. The band played a mixture of acoustic and electric numbers, covering all the bases from a ragtime feels through traditional Chicago blues on towards funk - occasionally with a splash of jazz thrown in. Even more pleasing were some of the self-penned songs by Cadijo performed in French. French is a great language, not only is it beautiful to listen to but amazingly very American musical forms blues and rap work brilliantly sung in French. It would not be fair to single out any members of the band as they all played very well indeed. If you get the chance while travelling to see the band then they come recommended by bluesinthenorthwest.com.

Kean Peace – Blues in the North West magazine

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